Bonjour,
dans le rapport financier, je n’arrive pas à percevoir exactement du côté “recettes” ce qui relève des subventions hormis CNDS…
Si c’est essentiellement cette subvention qui est en jeu chaque année, je la mets en rapport avec le nombre approximatif de fédérés qui est de 500…pour constater que cette formidable aide publique est de 10 euros par personne et par an !
On peut se demander si ça vaut la peine de s’échiner…les fédérés d’île-de-France en sont-ils à 10 balles près par an ? Le principe d’une contribution volontaire systématique pourrait-il être proposé ?
Bonjour,
je ne crois pas que ce soit les “petits” clubs qui sont les plus menacés, mais plutôt les grands ou gros, et, plus particulièrement, les grands et gros projets à fort budget.
Une des solutions, selon nous, est de privilégier des partenariats d’entreprises ou associatifs ou des subventions locales devant les usines à gaz pour tirer (peut-être) une subvention départementale, régionale voire nationale, avec des tas de contraintes en amont comme en aval. Ca n’empêche pas d’essayer par les deux canaux.
Christian Rilhac.
P.S. Tous les projets du petit club SJV qui méritaient attention ont été “subventionnés” comme ci-dessus indiqué, ceci depuis 25 ans.
c’est philippe brunet membre du comité pilotage idf qui a posté la reponse sur les demandes d’aides.
Dans les mécanismes nouveaux, il y a d’une part la prime à la proximité mise en place par la fédé en favorisant la place des jeunes, de ce fait les régions ayant moins de jeunes , perdent la possibilité de favoriser ce type de pratique. Avec 4 cds aidés seulement et 2 club, l’ile de france est terriblement pénalisée.
d’autres part, il semble que le coefficient définie ait été appliqué au volume de subvention. Apres des années de justesse budgetaire, les demandes collant a la realité des projets sont défavorables. Sans doute faut il de nouveaux intégrer des projets qui ne se feront que si les subventions sont a la hauteurs des demandes. Ce point est a éclaircir.
Les demandes de subventions ne sont plus gérées par les Directions Régionales (ou Départementales) Jeunesse, Sport et Cohésion Sociale. Aujourd’hui, depuis la création de l’Agence Nationale du Sport, elle donne une enveloppe à la Fédération et les arbitrages se font en interne.
Cela a été fait cette année pour la première fois et a été au grand désavantage de notre région où des années de relations avec les DRJSCS et DDJSCS permettaient de faire vivre nos CDS, CSR et clubs. Nous sommes passés de 75% de financements à nos demandes d’actions à 30%.
Cela implique des problèmes à venir pour financer les CDS et les clubs. Il va falloir réfléchir ensemble à de nouveaux moyens de financements ou de nouveaux modes de fonctionnement.
Toutes les idées sont bonnes et bienvenues mais elles doivent être discutées et proposées. Sinon il faut s’attendre à la mort des petits clubs à court terme et des CDS à long terme.